Mise à jour de '1. Guide d'installation d’Archlinux avec GNOME'
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b4bb776b29
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e3c029e364
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@ -1,24 +1,30 @@
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# Petit guide d’installation d’Archlinux avec GNOME
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# Guide d’installation d’Archlinux avec GNOME (novembre 2023)
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Dans ce petit guide, je vais détailler l’installation d’Archlinux avec GNOME (pour les autres environnements de bureaux voir les sources ci-dessus). L’installation terminée proposera un environnement suffisamment étoffé pour être utilisable.
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Ce tutoriel permet d'installer une Archlinux en monoboot et dualboot avec Windows 11. Il n'y à pas de manipulations particulières à faire ci ce n'est de prévoir une partition UEFI (dédié de préférence) et d'installer Windows en premier. Pour plus d'infos voir : https://www.armandphilippot.com/article/dual-boot-manjaro-windows-uefi.
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Merci à Ewolnux, Xarkam, Frédéric Sierra, Ludovic Riand, Vincent Manillier, Thomas Pawlowski, Igor Milhit, André Ray, Nicolas, Charles Monzat, SuperMario S, Angristan, Simon B, r33int, Mozzi, Kevin Dubrulle, Christophe Leloup, Nornort et Quentin Bihet pour leurs conseils et remarques. Et merci surtout à Frédéric Béziès pour avoir rédigé les premières versions de ce document, proposé sous licence [CC-BY-SA 4.0.](http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)
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Sources : Chennux (https://github.com/Chennux/arch-tuto-installation), Fred Bezies (https://framagit.org/FredBezies/arch-tuto-installation/-/blob/master/install.md, https://github.com/FredBezies/arch-tuto-installation/blob/master/install.md), Cardiacman13 (https://github.com/Cardiacman13/Architect/blob/main/lang/README.fr.md), Archlinux (https://wiki.archlinux.org/title/Main_page_(Fran%C3%A7ais)).
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## Installons notre base
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Pour obtenir l'iso Archlinux : https://archlinux.org/download/. Seule l'installation en UEFI sera traitée.
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## Préparatifs et installation de la base
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La première chose à faire, c’est d’avoir le clavier français :
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### Clavier et connextion internet
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Pour obtenir l'iso Archlinux : https://archlinux.org/download/. Seule l'installation en UEFI sera traitée dans ce guide.
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Configurer le clavier en français :
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```
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loadkeys fr-latin1
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loadkeys fr
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```
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On s'occupe de vérifier que la connexion Internet est fonctionnelle :
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Vérifier la connexion Internet :
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```
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ping 8.8.8.8
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```
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Pour connecter le wifi il faut utiliser iwd (iNet wireless daemon):
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Si besoin, pour connecter le wifi il faut utiliser iwd (iNet wireless daemon) :
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* https://wiki.archlinux.org/title/Network_configuration/Wireless;
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* https://wiki.archlinux.org/title/Iwd
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```
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$ iwctl
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```
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@ -38,105 +44,93 @@ Se connecter au réseau:
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```
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[iwd]# station device connect "SSID"
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```
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### Partitionnement et montage des volumes
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* https://wiki.archlinux.org/title/Network_configuration/Wireless;
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* https://wiki.archlinux.org/title/Iwd
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Si tout est fonctionnel, nous pouvons passer au partitionnement. Celui-ci peut se faire par gParted depuis un liveCD en amont :
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* http://gparted.org/download.php
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* https://manjaro.org/download/
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* https://www.linuxmint.com/download.php
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Si tout est fonctionnel, nous pouvons passer au partitionnement. Voici donc l’écran qui nous permet de démarrer en mode UEFI :
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Il faut obligatoirement une table de partition GPT en cas d’installation en mode UEFI. Si vous n’êtes pas passé par gParted, il faut utiliser l’outil cgdisk depuis le liveCD d'Archlinux.
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![Démarrage en mode UEFI]
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*Démarrage en mode UEFI*
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Pour le partitionnement, si vous avez peur de faire des bêtises, il est plus prudent de passer par un LiveCD comme gParted disponible à l’adresse suivante : <http://gparted.org/download.php>
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Il faut se souvenir qu’il faut **obligatoirement** une table de partition GPT en cas d’installation en mode UEFI. Si vous n’êtes pas passé par gParted, il faut utiliser l’outil cgdisk.
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#### Exemple de partitionnement
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| Référence | Point de montage | Taille | Système de fichiers |
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| --------- | ---------------- |----------------------------------------------------------------------------------------- | -------------------- |
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| /dev/sda1 | /boot/efi | 128 Mo | fat32 |
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| /dev/sda2 | / | 20 Go minimum (sur une machine réelle, 50 Go ou plus est recommandé) | ext4 |
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| /dev/sda3 | | Taille de la mémoire vive ou plus – au-dessus de 8 Go de mémoire vive, 1 Go est conseillé | swap |
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| /dev/sda4 | /home | Le reste du disque | btrfs |
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| /dev/*xxx* | /boot/efi | 128 Mo | fat32 |
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| /dev/*xxx* | / | 20 Go minimum (sur une machine réelle, 50 Go ou plus est recommandé) | ext4 |
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| /dev/*xxx* | | Taille de la mémoire vive ou plus – au-dessus de 8 Go de mémoire vive, 1 Go est conseillé | swap |
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| /dev/*xxx* | /home | Le reste du disque | btrfs |
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**Note :** pour la partition /boot/efi, il faut qu’elle soit étiquetée en EF00 à sa création. Pour le swap, c’est la référence 8200.
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**Note :** pour la partition /boot/efi, il faut qu’elle soit étiquetée en EF00 à sa création. Pour le swap, c’est la référence 8200. En cas de dualboot avec Windows voir l'intro de ce guide.
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![cgdisk en action pour un partitionnement avec un UEFI](pictures/cgdisk.png)
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*cgdisk en action pour un partitionnement avec un UEFI*
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Le partitionnement à appliquer ? C’est le suivant :
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Le partitionnement suitant est à appliquer (ici en ext4) :
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```
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mkfs.fat -F32 /dev/...
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mkfs.ext4 /dev/...
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mkfs.ext4 /dev/...
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mkfs.fat -F32 /dev/xxx
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mkfs.ext4 /dev/xxx
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mkfs.ext4 /dev/xxx
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```
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Sans oublier la partition de swap si besoin :
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La partition de swap si besoin :
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```
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mkswap /dev/...
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swapon /dev/...
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mkswap /dev/xxx
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swapon /dev/xxx
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```
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Et pour les points de montage :
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#### Les points de montage
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```
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mount -o compress=zstd /dev/... /mnt
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mount /dev/xxx /mnt
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mkdir /mnt/{boot,boot/efi,home}
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mount /dev/... /mnt/boot/efi
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mount -o compress=zstd /dev/sda4 /mnt/home
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mount /dev/xxx /mnt/boot/efi
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mount /dev/xxx /mnt/home
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```
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### Installation de la base
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*Note :* L'option `-o compress=zstd` permet de compresser les partitions BTRFS avec l'algorithme zstd, ce qui permet de gagner en espace disque mais aussi en durée de vie, particulièrement pour les SSD.
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#### Choix des mirroirs
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**On peut passer à l’installation de la base.**
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Après avoir procédé au partitionnement et à l’attribution des partitions, on peut attaquer les choses sérieuses, à savoir récupérer la base de notre installation. mais avant toute chose, choisissons le miroir le plus rapide.
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Avec l'outil Reflector, nous allons générer une liste des miroirs de téléchargement des paquets, en fonction de votre localisation. Je vais utiliser personnellement ces paramètres :
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Après avoir procédé au partitionnement et à l’attribution des partitions, il faut récupérer la base de notre installation. Avant toute chose il faut configurer la liste des mirroirs avec Reflector :
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```
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reflector -c FR -c GB -p https -a 12 --sort rate --save /etc/pacman.d/mirrorlist
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reflector -c FR -p https -a 12 --sort rate --save /etc/pacman.d/mirrorlist
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```
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Autrement dit, nous allons utiliser uniquement des miroirs français et britanniques (paramètres que vous pourrez changer selon votre emplacement), utilisant le protocole https et mis à jour dans les 12 dernières heures. Nous les classons dans le même temps par rapidité et les enregistrons dans le fichier */etc/pacman.d/mirrorlist*.
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**Note :** Ici sont appelé les miroirs français utilisants le protocole https et mis à jour dans les 12 dernières heures. Nous les classons par rapidité et les enregistrons dans le fichier */etc/pacman.d/mirrorlist*.
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On passe à l’installation de la base. La deuxième ligne rajoute certains outils bien pratiques à avoir dès le départ. On peut ensuite s’attaquer à l’installation proprement dite.
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* https://wiki.archlinux.org/title/Reflector_(Fran%C3%A7ais)
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#### Pacstrap
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On passe à l’installation de la base:
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pacstrap /mnt base linux linux-{headers,firmware} base-devel pacman-contrib man-{db,pages,pages-fr} texinfo btrfs-progs systemd-sysvcompat
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pacstrap /mnt zip unzip p7zip nano gvim mc syslog-ng mtools dosfstools lsb-release ntfs-3g exfatprogs bash-completion ntp cronie
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pacstrap /mnt pipewire lib32-pipewire pipewire-pulse pipewire-alsa pipewire-jack wireplumber alsa-utils alsa-firmware alsa-tools sof-firmware
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```
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Si on veut utiliser un noyau linux long terme, il faut remplacer sur la première ligne pacstrap le paquet linux par linux-lts et linux-headers par linux-lts-headers. Pour ntfs-3g, c’est utile si vous êtes amené à utiliser des disques formatés en ntfs. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez l’ignorer allègrement.
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```
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pacstrap /mnt zip unzip p7zip nano gvim mc syslog-ng mtools dosfstools lsb-release ntfs-3g exfatprogs bash-completion ntp cronie
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```
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*Note :* exfatprogs, remplaçant exfat-utils, est utile pour la prise en charge des cartes SD de grande capacité.
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**Note :** Si on veut utiliser un noyau linux long terme, il faut remplacer sur la première ligne pacstrap le paquet linux par linux-lts et linux-headers par linux-lts-headers. Pour ntfs-3g, c’est utile si vous êtes amené à utiliser des disques formatés en ntfs. Si vous êtes sur un pc portable, l’ajout de tlp est conseillé pour améliorer l’autonomie de la batterie (https://wiki.archlinux.org/index.php/TLP). Si vous désirez rajouter le support des microcodes pour votre processeur, il vous suffira de rajouter soit le paquet amd-ucode (pour AMD) ou intel-ucode (pour Intel). Grub détectera leur présence automatiquement.
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Vous pouvez également remplacer nano par vim si vous préférez ce dernier.
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### Premières configurations
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Si vous êtes sur un pc portable, l’ajout de tlp est conseillé pour améliorer l’autonomie de la batterie. Plus d’info sur cette page : <https://wiki.archlinux.org/index.php/TLP>
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#### Fichier fstab
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Si vous désirez rajouter le support des microcodes pour votre processeur, il vous suffira de rajouter soit le paquet amd-ucode (pour AMD) ou intel-ucode (pour Intel). Grub détectera leur présence automatiquement.
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Maintenant que les outils de base sont installés, il faut générer le fichier /etc/fstab qui liste les partitions présentes.
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Maintenant que les outils de base sont installés, il faut générer le fichier /etc/fstab qui liste les partitions présentes :
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```
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genfstab -U /mnt >> /mnt/etc/fstab
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```
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On passe aux réglages de l’OS qu’on vient d’installer. Il faut donc y entrer. On utilise la commande suivante :
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#### Réglages de l'OS
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```
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arch-chroot /mnt
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```
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Avant d’aller plus loin, voici quelques infos pratiques. Cela concerne les pays francophones comme la France, la Belgique, la Suisse, le Luxembourg ou encore le Canada francophone.
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Nous allons par la suite créer des fichiers qui demanderont des valeurs précises. Les voici résumées ici :
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Les valeurs linguistiques de l'OS pour les pays francophones comme la France, la Belgique, la Suisse, le Luxembourg ou encore le Canada francophone :
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| Pays | Locale (LANG) | Clavier (KEYMAP) |
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|------------|---------------|------------------|
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@ -146,15 +140,16 @@ Nous allons par la suite créer des fichiers qui demanderont des valeurs précis
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| Luxembourg | fr\_LU.UTF-8 | fr-latin9 |
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| Suisse | fr\_CH.UTF-8 | fr\_CH-latin1 |
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**Note :** ici on choisi les faleurs pour la France.
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Pour avoir le bon clavier en mode texte, créez le fichier /etc/vconsole.conf. Il suffira de l’adapter si le besoin s’en fait sentir.
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Clavier en mode texte, créez le fichier */etc/vconsole.conf* :
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```
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KEYMAP=fr-latin9
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FONT=eurlatgr
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```
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Pour avoir la localisation française, le fichier /etc/locale.conf doit contenir la bonne valeur pour LANG. Pour une personne en France métropolitaine :
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Localisation française, le fichier */etc/locale.conf* :
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```
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LANG=fr_FR.UTF-8
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@ -163,21 +158,23 @@ LC_COLLATE=C
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**Note :** La deuxième ligne est nécessaire si on apprécie d’avoir le tri par la « casse » (majuscule puis minuscule) activé. Merci à Igor Milhit pour la remarque !
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Il faut vérifier que la ligne fr\_FR.UTF-8 UTF-8 dans le fichier /etc/locale.gen n’a pas de \# devant elle. Ainsi que la ligne en\_US.UTF-8 UTF-8. Évidemment, la valeur fr\_FR.UTF-8 doit être modifiée si besoin est. On va maintenant générer les traductions :
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**Note :** Il faut vérifier que les lignes *fr\_FR.UTF-8 UTF-8* et *en\_US.UTF-8 UTF-8* dans le fichier */etc/locale.gen* n’ont pas de \# devant elles :
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Générer les traductions :
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```
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locale-gen
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```
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On peut spécifier la locale pour la session courante, à modifier en fonction de votre pays :
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Spécifier la locale pour la session courante :
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```
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export LANG=fr_FR.UTF-8
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```
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Le nom de la machine ? Il est contenu dans le fichier **/etc/hostname**. Il suffit de taper le nom sur la première ligne. Par exemple : *chen-archlinux.* À remplacer par le nom de la machine bien entendu.
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Donner un nom à la machine dans le ficher */etc/hostname*. Taper le nom sur la première ligne.
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Le fuseau horaire ? Une seule étape. Prenons le cas d’une installation avec le fuseau horaire de Paris. Tout dépend de votre lieu de résidence. On commence par créer un lien symbolique :
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Régler le fuseau horaire (ici Paris). Créer un lien symbolique :
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```
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ln -sf /usr/share/zoneinfo/Europe/Paris /etc/localtime
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@ -189,79 +186,78 @@ Ensuite, deux cas se présentent. Soit on a une machine en mono-démarrage sur A
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hwclock --systohc --utc
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```
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**Sinon, on ne touche à rien.** MS-Windows est un goujat dans ce domaine.
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**Sinon, on ne touche à rien. MS-Windows est un goujat dans ce domaine.**
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Étape suivante ? Générer l'image du noyau.
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#### Générer l'image du noyau.
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```
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mkinitcpio -p linux (ou **linux-lts** si vous voulez le noyau lts.)
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mkinitcpio -p linux
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```
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**Note** : si vous avez une « hurlante » contenant « /run/lvm/lvmetad.socket: connect failed » ou quelque chose d’approchant, ce n’est pas un bug. C’est une alerte sans conséquence. Cf <https://wiki.archlinux.org/index.php/GRUB#Boot_freezes>
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**Note :** ou *linux-lts* si vous voulez le noyau lts.
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![Génération du noyau linux 5.14.14 début juillet 2021](pictures/mkinitcpio.png)
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**Note :** si vous avez une « hurlante » contenant « /run/lvm/lvmetad.socket: connect failed » ou quelque chose d’approchant, ce n’est pas un bug. C’est une alerte sans conséquence. Cf <https://wiki.archlinux.org/index.php/GRUB#Boot_freezes>
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||||
*Génération du noyau linux 5.14.14 début juillet 2021*
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Au tour du chargeur de démarrage. J’utilise Grub2 qui s’occupe de tout et récupère les paquets qui vont bien. Le paquet os-prober est indispensable pour un double démarrage.
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La deuxième ligne permet de vérifier un point de montage et de l’activer au besoin. La troisième installe Grub. Merci à Kevin Dubrulle pour l’ajout.
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#### Grub, le chargeur de démarrage
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```
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pacman -Syy grub os-prober efibootmgr
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```
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```
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mount | grep efivars &> /dev/null || mount -t efivarfs efivarfs /sys/firmware/efi/efivars
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```
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**Note :** cette ligne permet de vérifier un point de montage et de l’activer au besoin.
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```
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grub-install --target=x86_64-efi --efi-directory=/boot/efi --bootloader-id=arch_grub --recheck
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```
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**Note :** cette ligne installe Grub.
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De plus, pour éviter tout problème de démarrage par la suite, spécialement dans VirtualBox, il est conseillé de rajouter les commandes suivantes :
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Pour éviter tout problème de démarrage par la suite (spécialement dans VirtualBox), il est conseillé de rajouter les commandes suivantes :
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```
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mkdir /boot/efi/EFI/boot
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```
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```
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cp /boot/efi/EFI/arch_grub/grubx64.efi /boot/efi/EFI/boot/bootx64.efi
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```
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**Note :** Après avoir généré l'image noyau et installé grub, il faut passer au fichier de configuration du lanceur. C'est une modification intervenue avec grub 2:2.02-8.
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Après avoir généré l'image noyau et installé grub, il faut passer au fichier de configuration du lanceur :
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```
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grub-mkconfig -o /boot/grub/grub.cfg
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```
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**Note 2** :Simon B m'a fait remarqué qu'en cas de double démarrage avec une autre distribution GNU/Linux déjà installée, il n'est pas indispensable d'installer de bootloader sous Archlinux. Il suffit de faire une commande comme update-grub dans la distribution installée en parallèle d'Archlinux.
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||||
**Note :** en cas de double démarrage avec une autre distribution GNU/Linux déjà installée, il n'est pas indispensable d'installer de bootloader sous Archlinux. Il suffit de faire une commande comme update-grub dans la distribution installée en parallèle d'Archlinux.
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Bien entendu, aucune erreur ne doit apparaître. On donne un mot de passe au compte root :
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Bien entendu, aucune erreur ne doit apparaître.
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#### Saisie du mot de passe root
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```
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passwd
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```
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#### Réseau
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Pour le réseau, installer et activer NetworkManager est une bonne idée. Vous pouvez l'installer comme ceci :
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Installer et activer NetworkManager :
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```
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pacman -S networkmanager
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```
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```
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systemctl enable NetworkManager
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```
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Si vous voulez utiliser le bluetooth :
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Installer et activer le bluetooth :
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```
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pacman -S bluez bluez-utils bluez-plugins
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```
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```
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systemctl enable --now bluetooth.service
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```
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**NOTE 1 :** si vous n’utilisez pas NetworkManager, je vous renvoie à cette page du wiki anglophone d'Archlinux, qui vous aidera dans cette tâche : <https://wiki.archlinux.org/index.php/Netctl>. Il vous faut alors installer le paquet netctl.
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**NOTE 1 :** pour utiliser NetworkManager avant d'y avoir accès graphiquement : https://wiki.archlinux.org/title/Netctl_(Fran%C3%A7ais)
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**NOTE 2 :** netctl et networkmanager rentrent en conflit et **ne doivent pas** être utilisé en même temps. Une règle simple : un seul gestionnaire de connexion réseau à la fois !
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**NOTE 3 :** si vous voulez utiliser des réseaux wifi directement avec NetworkManager et son applet, le paquet gnome-keyring est indispensable. Merci à Vincent Manillier pour l’info.
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Si vous voulez utiliser un outil comme Wine ou Steam (qui est nécessitent des librairies 32 bits), il faut décommenter (enlever les \#) des lignes suivantes dans /etc/pacman.conf :
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```
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#[multilib]
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#Include = /etc/pacman.d/mirrorlist
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```
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**NOTE 4** (d'après une suggestion de **Lomig**) : Toujours dans le pacman.conf, vous pouvez décommenter ou rajouter ces options dans la partie "#Misc options" pour rendre Pacman plus sympathique :
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#### Configuration de *pacman.conf*
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```
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UseSyslog
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@ -271,223 +267,148 @@ VerbosePkgLists
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ParallelDownloads = 5
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ILoveCandy
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```
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On peut maintenant quitter tout, démonter proprement les partitions et redémarrer.
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C’est un peu plus délicat qu’auparavant. Au moins, on voit les étapes à suivre.
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#### Quitter et redémarrer
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```
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exit
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umount -R /mnt
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reboot
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```
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**Note :** éjecter le support d’installation pour éviter des problèmes au démarrage suivant.
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Voilà, on peut redémarrer. **Il faut éjecter le support d’installation pour éviter des problèmes au démarrage suivant.** On va passer à la suite, largement moins ennuyeuse !
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## Installation de l'environnement graphique
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II) Commençons l'installation de l'environnement graphique !
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------------------------------------------------------------
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#### Connecter NetworkManager
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Nous attaquons donc la partie la plus intéressante, l’installation de l’environnement graphique. Il y a des étapes communes à tous les environnements.
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Une fois le système démarré, on se connecte **en root**. Étant donné que j’ai installé NetworkManager à l’étape précédente, le réseau fonctionne directement.
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**Note :** si on veut avoir les logs en clair en cas de problème, il faut modifier avec nano (ou vim) le fichier /etc/systemd/journald.conf en remplaçant la ligne :
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Il y a des étapes communes à tous les environnements. Une fois le système redémarré, on se connecte **en root**. NetworkManager étant déja installé le réseau fonctionne. Pour le wifi :
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```
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#ForwardToSyslog=no
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nmcli device wifi list
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```
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```
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nmcli device wifi connect SSID_or_BSSID password password
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```
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par :
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#### Logs en clair
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```
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ForwardToSyslog=yes
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```
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Si on veut avoir les logs en clair en cas de problème, il faut modifier le fichier */etc/systemd/journald.conf* en remplaçant la ligne :
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Les outils en place, on lance alsamixer avec la commande du même nom, pour configurer le niveau sonore :
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***#ForwardToSyslog=no*** par ***ForwardToSyslog=yes***
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![alsamixer en action](pictures/alsamixer.png)
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#### Alsamier
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*alsamixer en action*
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Une fois l’ensemble configuré, pour le conserver tel quel, il suffit d’entrer :
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Lancer la commande du même nom pour configurer le niveau sonore. Une fois l’ensemble configuré, pour le conserver tel :
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```
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alsactl store
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```
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#### Installer les greffons gstreamer
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Nous sommes dans le multimédia ? Restons-y.
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On va installer l’ensemble des greffons gstreamer qui nous donneront accès aux fichiers multimédias une fois Gnome lancé. Il faudra remplacer **pacman -S** par **sudo pacman -S** quand vous utiliserez votre compte utilisateur « normal » plus tard.
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Merci à Adrien de Linuxtricks pour m’avoir aidé à réduire la longueur de la ligne de commande :)
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Les greffons gstreamer donneront accès aux fichiers multimédias une fois Gnome lancé :
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```
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pacman -S gst-plugins-{base,good,bad,ugly,pipewire} gst-libav gstreamer-vaapi gst-libav gstreamer downgrade rebuild-detector mkinitcpio-firmware xdg-desktop-portal-gtk xdg-desktop-portal neofetch power-profiles-daemon lib32-pipewire ttf-liberation fuse2fs fuse2 fuse3
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||||
pacman -S gst-plugins-{base,good,bad,ugly} gst-libav
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```
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gst-libav ? Il prend en charge tout ce qui est x264 et apparenté.
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Passons à l’installation de Xorg. Le paquet xf86-input-evdev est obsolète depuis début mars 2017, à cause du passage à xorg-server 1.19. Les paquets xf86-input-mouse et xf86-input-keyboard n'existent plus depuis la purge de Xorg en décembre 2019.
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**Note :** il n’y a pas d’espace entre le – et le { vers la fin de la commande suivante.
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#### Installer Xorg
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```
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pacman -S xorg-{server,xinit,apps} xdg-user-dirs
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```
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**Note :** pour le pavé tactile de certains ordinateurs portables, il peut être nécessaire de rajouter le paquet xf86-input-synaptics.
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**Note :** pour le pavé tactile de certains ordinateurs portables -> *xf86-input-synaptics*.
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Il faut ensuite choisir le pilote pour le circuit vidéo. Voici les principaux pilotes, sachant que le paquet xf86-video-vesa englobe une énorme partie des circuits graphiques, dont ceux non listés dans le tableau un peu plus loin. En cas de doute : <https://wiki.archlinux.org/index.php/Xorg#Driver_installation>
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#### Pilotes graphiques
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Pour Nvidia, c’est un casse-tête au niveau des pilotes propriétaires. Le plus simple est de se référer au wiki d'Archlinux : <https://wiki.archlinux.org/index.php/NVIDIA>. Et si vous avez la technologie Optimus : <https://wiki.archlinux.org/index.php/NVIDIA_Optimus>
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Ici la liste des pilotes disponibles selon les cartes graphiques :
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* https://wiki.archlinux.org/index.php/Xorg#Driver_installation
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**Note 2** : Il est recommandé dans la plupart des cas de n'installer aucun pilote pour les cartes graphiques Intel : cf. <https://wiki.archlinux.org/index.php/Intel_graphics#Installation>
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```pacman -S mesa lib32-mesa vulkan-intel lib32-vulkan-intel vulkan-icd-loader lib32-vulkan-icd-loader intel-media-driver```
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<br>
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| Circuits graphiques | Pilotes libres | Pilotes non libres (si existant) |
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|---------------------|------------------------|------------------------------------------------------|
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| AMD | xf86-video-ati | |
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| | xf86-video-amdgpu | AMDGPU-PRO (cf. le wiki d'Arch Linux) |
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| Intel | ⚠ xf86-video-intel | |
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| Nvidia | xf86-video-nouveau | Nvidia (cf. le wiki d'Arch Linux) pour la version à installer en fonction de la carte graphique |
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| VMWare / VirtualBox | xf86-video-vmware | |
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| Universel | xf86-video-vesa |
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<br>
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Si vous faites une installation dans VirtualBox, il faut deux paquets : les additions invités, et les modules noyaux nécessaires à leur fonctionnement.
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Ce qui donne :
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Il est recommandé dans la plupart des cas de n'installer aucun pilote pour les cartes graphiques Intel:
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* https://wiki.archlinux.org/index.php/Intel_graphics#Installation
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Sinon :
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```
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pacman -S virtualbox-guest-utils
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pacman -S mesa
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```
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La prise en charge des modules noyau se fait avec la commande systemctl suivante :
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#### Installer les polices
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```
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systemctl enable --now vboxservice
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pacman -S ttf-{bitstream-vera,liberation,dejavu,carlito,caladea} gnu-free-fonts freetype2 noto-fonts{,-extra,-cjk,-emoji}
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```
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Dans le cas où vous utilisez VMWare, vous devez installer aussi les VMWare Tools :
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```
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pacman -S xf86-video-vmware open-vm-tools
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```
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**Note :** pour les polices Microsoft, le paquet *ttf-ms-fonts* est dans l'AUR
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De la même façon, vous devez activer les services adéquats :
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```
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systemctl enable --now {vmtoolsd,vmware-vmblock-fuse}.service
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```
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**Note 3 :** si vous installez un jour VirtualBox sur une machine réelle je vous renvoie à cette page du wiki francophone : <https://wiki.archlinux.fr/VirtualBox>
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**Note 4** : pour installer VMWare sur une machine réelle cette page du wiki anglophone est très utile : <https://wiki.archlinux.org/index.php/VMware>
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On passe ensuite à l’installation des polices. Voici la ligne de commande pour les principales. Le paquet freetype2 apportant quelques améliorations. Merci à Angristan pour la suggestion.
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Les polices noto servent, quant à elles, à supporter la majorité des caractères Unicode (émojis, caractères asiatiques, symoboles mathématiques...).
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#### Installer les pilotes d'impression
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```
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pacman -S ttf-{bitstream-vera,liberation,dejavu,carlito,caladea} gnu-free-fonts freetype2 noto-fonts{,-extra,-cjk,-emoji} adobe-source-code-pro-fonts otf-font-awesome ttf-droid
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||||
pacman -S cups hplip python-pyqt5 foomatic-db{,-ppds,-gutenprint-ppds,-nonfree,-nonfree-ppds} gutenprint
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```
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**Note 5 :** pour les polices Microsoft, le paquet ttf-ms-fonts, elles sont sur le dépôt AUR, donc il faut utiliser un enrobeur comme yay pour les récupérer et les installer.
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On va rajouter quelques outils, histoire de ne pas voir un environnement vide au premier démarrage.
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On installe le service d'impression CUPS et le maximum de pilotes pour l'imprimante. `python-pyqt5` est une dépendance pour l'interface de configuration d'`hplip` (qui n'est utile que pour une imprimante HP ou Brother récente). Pour être tranquille avec son imprimante :
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#### Installer les premiers logiciels
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```
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pacman -S cups hplip python-pyqt5 foomatic-db{,-engine,-ppds,-gutenprint-ppds,-nonfree,-nonfree-ppds,-gutenprint-ppds} gutenprint ghostscript gsfonts cups-filters cups-pdf system-config-printer python-pyqt5 hplip
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||||
pacman -S firefox firefox-i18n-fr libreoffice-still libreoffice-still-fr hunspell hunspell-fr gimp gimp-help-fr xsane vlc gnome-disk-utility neofetch htop keepassxc
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```
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Nous allons maintenant installer plusieurs logiciels utiles au quotidien : Firefox pour le navigateur web (avec l'indispensable bloqueur de publicités), LibreOffice pour la suite bureautique (avec le correcteur orthographique Hunspell), GIMP pour la retouche photo et xsane pour la numérisation :
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```
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pacman -S firefox-{i18n-fr,ublock-origin} libreoffice-still libreoffice-still-fr hunspell-fr gimp gimp-help-fr xsane vlc gnome-disk-utility
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```
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||||
De nombreux autres logiciels sont bien sûr également disponibles dans les dépôts d'ArchLinux.
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Ensuite, on crée un utilisateur classique avec les commandes suivantes :
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#### Créer un utilisateur classique et son mot de passe et configurer visudo
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```
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useradd -m -g wheel -c 'Nom complet de l’utilisateur' -s /bin/bash nom-de-l’utilisateur
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```
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```
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passwd nom-de-l’utilisateur
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```
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On va configurer sudo en utilisant visudo qui modifie */etc/sudoers*.Penser à préciser l'éditeur souhaité en exécutant la commande :
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Avant de finir, on va configurer sudo en utilisant visudo qui modifie /etc/sudoers. En effet, il nous suffit de modifier une ligne pour que l’on puisse accéder en tant qu’utilisateur classique aux droits complets sur la machine de manière temporaire.
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Pensez à préciser l'éditeur que vous voulez utiliser en exécutant la commande. Par exemple :
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```
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EDITOR="nano" visudo
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```
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Il faut aller, en utilisant la flèche du bas jusqu’à la ligne :
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Il faut aller, en utilisant la flèche du bas jusqu’à la ligne ***"# Uncomment to allow members of group wheel to execute any command"*** et enlever \# sur la ligne qui suit.
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```
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# Uncomment to allow members of group wheel to execute any command
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```
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Et enlever le \# sur la ligne qui suit.
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**Petit bonus : installer Yay pour compléter Pacman.**
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Pour rappel, Yay est un enrobeur de pacman, qui permet de profiter de toutes les fonctionnalités de celui-ci tout en simplifiant la gestion des loigiciels en provenance du dépôt AUR.
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**Note 6 : actions à effectuer en tant qu'utilisateur classique**
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L'installation en utilisateur simple ?
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#### Installer YaY
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```
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sudo pacman -S git
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```
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```
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git clone https://aur.archlinux.org/yay
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cd yay
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makepkg -sri
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```
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Pour être certain d’avoir le bon clavier au démarrage de GDM, de SDDM ou de LightDM (selon votre environnement de bureau), voici une petite commande à lancer (en modifiant le clavier selon les besoins) :
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#### Activer les services
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Pour être certain d’avoir le bon clavier au démarrage de GDM :
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```
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sudo localectl set-x11-keymap fr
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```
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Les valeurs étant à adapter en fonction de la locale et du clavier, bien entendu.
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Étant donné que systemd est utilisé, voici la liste des services à activer (avec une explication rapide), **qui sera la même pour chacun des environnements** proposés :
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Pour les services :
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```
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sudo -i
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systemctl enable syslog-ng@default → *gestion des fichiers d’enregistrement d’activité*
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systemctl enable cronie → *pour les tâches récurrentes*
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systemctl enable avahi-{daemon,dnsconfd} → *dépendances de Cups*
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systemctl enable cups → *cups pour les imprimantes*
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systemctl enable ntpd → *pour synchroniser l’heure en réseau.*
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||||
systemctl enable systemd-oomd → *tue automatiquement les processus trop gourmands*
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||||
systemctl enable fstrim.timer → *optimisations pour les SSD (inutile sur les HDD)*
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||||
sudo systemctl enable syslog-ng@default → *gestion des fichiers d’enregistrement d’activité*
|
||||
sudo systemctl enable cronie → *pour les tâches récurrentes*
|
||||
sudo systemctl enable avahi-{daemon,dnsconfd} → *dépendances de Cups*
|
||||
sudo systemctl enable cups → *cups pour les imprimantes*
|
||||
sudo systemctl enable ntpd → *pour synchroniser l’heure en réseau.*
|
||||
sudo systemctl enable systemd-oomd → *tue automatiquement les processus trop gourmands*
|
||||
sudo systemctl enable fstrim.timer → *optimisations pour les SSD (inutile sur les HDD)*
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```
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||||
```
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||||
exit
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```
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||||
## Installation de Gnome
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III) Installons l'environnement de bureau
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-----------------------------------------
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* https://wiki.archlinux.org/title/GNOME
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**Note :** à partir de maintenant, nous sommes connectés en tant qu’utilisateur classique.
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#### Gnome
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**Note :** commandes à entrer en tant qu’utilisateur classique. Vous pouvez utiliser un enrobeur de pacman comme yay par exemple.
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On commence par installer les paquets de GNOME. Le paquet telepathy permet d’ajouter le maximum de support pour les comptes utilisateurs en ligne. Gnome Logiciels (alias gnome-software) est désormais installé avec le méta-paquet gnome. Le paquet gnome-software-packagekit-plugin permet d'installer des logiciels provenant des dépôts d'Arch Linux depuis Gnome Logiciels.
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unoconv sert à disposer des aperçus des documents dans GNOME Documents.
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Installer les paquets de GNOME. Le paquet telepathy permet d’ajouter le maximum de support pour les comptes utilisateurs en ligne.
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```
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sudo pacman -S gnome gnome-extra gnome-software-packagekit-plugin system-config-printer telepathy shotwell rhythmbox unoconv
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sudo pacman -S gnome gnome-extra gnome-software-packagekit-plugin system-config-printer telepathy shotwell rhythmbox unoconv mtpfs
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```
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Si vous voulez ajouter le support du MTP (appareils sous Android par exemple), installez en plus le paquet mtpfs.
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L’installation de Gnome est maintenant terminée.
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Ensuite, on lance GDM :
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```
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sudo systemctl start gdm.service
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@ -500,22 +421,4 @@ sudo systemctl enable gdm.service
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Il faut penser à vérifier que le clavier est correctement configuré. Ce qui se fait dans menu système unifié, paramètres.
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#### KDE Plasma
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Pour Discover, packagekit-qt5 est indispensable. La libappindicator-gtk{2,3} permet de mieux supporter les notifications des applications GTK+.
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L’installation se déroule ainsi :
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```
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pacman -S plasma-desktop kde-applications digikam packagekit-qt5 libappindicator-gtk{2,3} xdg-desktop-portal-kde okular print-manager kdenlive1 gwenview spectacle partitionmanager ffmpegthumbs qt6-wayland kdeplasma-addons powerdevil kcalc plasma-systemmonitor qt6-multimedia qt6-multimedia-gstreamer qt6-multimedia-ffmpeg kwalletmanager
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```
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On lance ensuite sddm :
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```sudo systemctl start sddm```
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Si tout se passe bien, on peut utiliser pour l'activer:
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```sudo systemctl enable sddm```
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Bonne découverte !
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Bonne découverte.
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